lundi 31 janvier 2011

Comment trouver un opticien agréé Kalivia ?





Comment trouver un opticien agréé Kalivia ?

Depuis la création du réseau Kalivia, les assurés de Malakoff Médéric et Harmonie Mutuelles peuvent profiter du réseau d’opticiens le plus important en France. La liste des opticiens n’a pas été rendue publique. Cependant, grâce à une procédure simple, les assurés de Malakoff Médéric et Harmonie Mutuelles peuvent trouver l’opticien le plus proche de chez eux.

Vous êtes assuré Malakoff Médéric ?

· Connectez-vous sur votre espace personnel situé en haut à droite du site www.malakoffmederic.com,

· Entrez votre identifiant client et votre mot de passe envoyé par courrier,

· Trouvez le service de géolocalisation,

· Entrez votre adresse personnelle ou celle de votre lieu de travail,

· Vous obtiendrez alors la liste des opticiens près de chez vous.

Si vous n’avez pas Internet, contactez le 3932 pour obtenir les adresses des opticiens du réseau Kalivia les plus proches de chez vous.

Vous êtes assuré Harmonies Mutuelles ?

· Connectez-vous sur l’espace adhérent sur le site www.harmonie-mutualite.fr,

· Entrez votre identifiant client et votre mot de passe envoyé par courrier,

· Cliquez sur la rubrique « réseau d’opticiens agréés »,

· Entrez votre adresse personnelle ou celle de votre lieu de travail,

· Vous obtiendrez alors la liste des opticiens près de chez vous.

Si vous n’avez pas Internet, appelez l’agence Harmonie Mutuelles la plus proche de chez vous, ou celle qui gère vos contrats. Elle vous communiquera les coordonnées des opticiens Kalivia les plus proches de chez vous.

Et pour comparer les contrats et trouver une mutuelle efficace en optique :  comparateur de mutuelles 

vendredi 28 janvier 2011

Comment choisir un professionnel de santé ?


Il n’est pas facile de choisir un professionnel de santé. La précipitation n’est pas la meilleure solution. Pour ne pas se tromper et trouver le professionnel de santé le plus adapté, il faut commencer par se poser les bonnes questions. Quelques petits conseils peuvent vous y aider.

Si vous recherchez un spécialiste, la prescription doit être faite par le médecin traitant sous peine d’être moins bien remboursé. Hors parcours de soins, l’assurance maladie ne rembourse que 30 % du tarif conventionnel. Il en est de même pour les professions paramédicales. Le médecin traitant peut donc tout à fait orienter son patient vers un professionnel plutôt qu’un autre, mais rien ne vous oblige à suivre ce conseil.

En fonction de vos difficultés à vous déplacer, la proximité du professionnel de santé est un critère important. Ses déplacements ne sont remboursés par la sécurité sociale que s’ils sont justifiés. De même l’accès au cabinet médical doit être aisé pour les personnes à mobilité réduite. La Mairie peut vous renseigner à ce propos.

Si votre santé nécessite de fréquents contrôles ophtalmologiques, l’idéal est d’opter pour un spécialiste dont les délais d’attente sont relativement courts. En ville il faut bien souvent 6 mois à 1 an d’attente.

Enfin, de nombreuses mutuelles complémentaires ont mis en place un partenariat avec des réseaux de professionnels : les tarifs sont encadrés et un bon niveau de remboursement est garanti.


Illustration © http://www.tierspayantassistance.com/pages/tierspayant.html

jeudi 27 janvier 2011

La Mutuelle Générale des Cheminots en guerre contre l’industrie pharmaceutique


La Mutuelle Générale des Cheminots fait beaucoup parler d’elle en ce début d’année. La Mutuelle Générale des Cheminots a publié une étude sur l’industrie pharmaceutique. Elle y dénonce des profits disproportionnés et une efficacité pas toujours au rendez-vous.

Les mutuelles ont accès aux résultats financiers des différentes entreprises de l’industrie pharmaceutique. Les résultats de 2009 de Sanofi-Aventis sont à l’origine de l’étude. Le groupe a fusionné en 2004 pour devenir la plus grande entreprise pharmaceutique française. A l’époque, la société était fortement endettée et son avenir incertain. En 2009, Sanofi-Aventis enregistre un chiffre d’affaires de 28 millions d’euros et près de 9 millions d’euros de résultat net. Soit une progression nette de 30% par rapport à 2008.

A l’heure où la crise fait rage, les bénéfices records de l’industrie pharmaceutique sont incompris des mutuelles qui peinent à faire face aux vagues de déremboursements et aux nouvelles taxes imposées par l’Etat.

Les bénéfices s’expliquent grâce à un coût de production inférieur à 25% du chiffre d’affaires et un prix de vente trois à quatre fois plus cher que ce coût. Mais ce n’est pas la seule raison. Les bénéfices s’expliquent aussi par la surconsommation de médicaments des Français. D’après l’étude, 9 consultations sur 10 se concluent par une prescription de médicaments contre 4 sur 10 aux Pays-Bas.

Chaque année les bénéfices de l’industrie pharmaceutique française sont de plus en plus importants et avec une population vieillissante la tendance ne risque pas de s’inverser !

mercredi 26 janvier 2011

Cancer de la prostate : la pub qui dérange




Depuis quelques semaines une campagne de pub pour le dépistage du cancer de la prostate est au cœur de l’actualité. Certains la trouvent drôle, d’autres offensante mais une chose est sûre, elle n’est pas passée inaperçue.

L’idée est née de Michel Cymes, médecin et surtout célèbre animateur du magazine de la Santé sur France 5. La publicité montre une douzaine de médecins qui, le pantalon baissé et le doigt levé, proposent de « ne pas passer à un doigt du diagnostic ». Le dépistage du cancer de la prostate est boudé des Français car il implique un toucher rectal. C’est pour cela que Michel Cymes a décidé de promouvoir le dépistage du cancer de la prostate avec humour.

Chaque année, plus 70 000 cancers de la prostate sont découverts et près de 9 000 personnes en meurent. Ce taux de mortalité élevé est causé par un manque de dépistage et donc une prise en charge trop tardive de la maladie. Pourtant 80% des cancers de la prostate peuvent être soignés s’ils sont découverts à temps !

Les Français de plus de 50 ans sont invités à en discuter avec leur médecin traitant et surtout à se faire dépister. Il faut également rappeler que le patient peut refuser le toucher rectal, il se verra proposer, à la place, une prise de sang.

mardi 25 janvier 2011

Obésité : cure thermale, chirurgie ou régime ?



L’obésité est une maladie que les professionnels de la santé ont longtemps eu du mal à soigner. Régime, chirurgie, psychothérapie ou thermalisme, de nombreux traitements ont été proposés et avec du recul il est maintenant possible de savoir ce qui marche et ce qui ne marche pas.

Le premier traitement proposé par les professionnels est le régime alimentaire combiné à une activité physique et à un suivi psychologie. Malheureusement, au fil des années, il a été prouvé que le régime n’était pas la solution. Le patient doit être sérieux et motivé. Le plus souvent il craque et au terme d’une période de régime reprend plus de poids qu’il n’en a perdu.
Autre solution, prise en charge par l’Assurance maladie, la chirurgie de l’obésité. L’efficacité de la chirurgie est reconnue. Cependant cette solution n’est proposée qu’après plusieurs années d’échec dans la perte de poids ou si la vie du patient est en danger.

Enfin, il est possible de venir à bout de l’obésité grâce au thermalisme. D’après une récente étude « Maâthermes » réalisée sur 2 ans sur plus de 250 patients, une cure thermale assure un suivi adapté et personnalisé qui porte ses fruits. La totalité des curistes a perdu du poids aussi bien à court terme qu’à long terme et 90% d’entre eux ont modifié leur hygiène de vie. Le thermalisme est également pris en charge par l’Assurance maladie et les mutuelles.

Début 2011, 31,9% de la population française est en surpoids et 14,5% est obèse. Chaque année plus de 50 000 personnes entament une cure dans le but de venir à bout de leur obésité.

Pour plus d’information, connectez-vous sur http://www.obesite.com/

illustration © http://www.tourisme-lorraine.fr/fr/pagetouristique.asp?IDPAGET=150&sX_Menu_selectedID=

lundi 24 janvier 2011

Les mutuelles face aux maladies chroniques



La démographie française évolue rapidement et le système de santé peine à y faire face. Le vieillissement de la population est responsable d’une augmentation sans précédent des maladies chroniques, maladies qui nécessitent un suivi fréquent et régulier par le médecin traitant, voire un spécialiste.

Dans les prochaines années, la France souffrira d’une pénurie de médecins et de la multiplication des déserts médicaux. La prise en charge des maladies chroniques sera donc plus difficile mais aussi plus couteuse.

Pour anticiper, les mutuelles françaises s’unissent et se lancent dans l'accompagnement des malades chroniques. Cet accompagnement passera par une offre spécifiquement destinée aux personnes victimes de maladies chroniques et d’affections de longue durée. Elle se traduira par un accès aux soins facilité grâce à la création de réseaux médicaux et à la participation des patients eux-mêmes au traitement. Un accompagnement est déjà organisé afin de trouver le meilleur traitement possible et le combiner à une bonne hygiène de vie.

Enfin, pour diminuer le nombre de malades chroniques, les mutuelles ont déjà mis en place un système de « vigilance santé » qui sensibilise le patient sur les causes et les conséquences des maladies chroniques.

Grâce à ce programme, les mutuelles aimeraient réduire le nombre de cas de maladies chroniques et d’assurer un meilleur suivi aux patients concernés.


Illustration © http://www.who.int/chp/chronic_disease_report/part1/fr/index5.html

vendredi 21 janvier 2011

Éviter l'AVC (accident vasculaire cérébral)


Chaque année les accidents vasculaires cérébraux font 130 000 victimes. Chez 20% de ces victimes, une récidive sera observée dans les 5 ans qui suivent le premier accident. Devant l’ampleur du problème, de nombreux chercheurs dont ceux de l’American Heart Association, rappellent qu’un mode de vie sain diminue efficacement les maladies cardiovasculaires.

Même si la plupart des victimes ont plus de 65 ans, une bonne hygiène de vie doit être adoptée le plus tôt possible. En effet, les personnes qui adoptent une bonne hygiène de vie dès la trentaine diminuent leur risque d’AVC et autres maladies cardiovasculaires de plus de 70%.

Une bonne hygiène de vie se traduit par le maintient d’un poids de forme, une alimentation équilibrée, une faible consommation de graisses saturées, une consommation raisonnable d’alcool, une proscription du tabac et surtout la pratique régulière d’une activité physique. Ces habitudes permettent aussi de réduire les risques de diabète, de cancer et de maladie d’Alzheimer.
L’Assurance maladie rappelle que les accidents vasculaires cérébraux représentent 4% des dépenses de santé française. La mauvaise hygiène de vie des Français représenteraient près de 43% des dépenses de santé !

Sur le site de la Mutualité Française vous trouverez un ensemble de fiches pratiques pour vous aider au quotidien à adopter une bonne hygiène de vie : ici

Illustration © http://www.sante-decouverte.com/avc/

jeudi 20 janvier 2011

Retraits de médicaments pour cause de dangerosité


En France, on n’a jamais été aussi bien soignés… et l’on n’a jamais vu autant de médicaments retirés du marché pour cause de dangerosité. Trois médicaments sont à la une.

L’épisode Médiator encore en cours, c’est le buflomédil, la vinflunine (Javlor) et le nimésulide (Nexen) qui font parler d’eux : le buflomédil est prescrit, entre autres, pour pallier les douleurs à la marche dues à une artérite. Quant à la vinflumine, elle est prescrite dans le cas de cancers avancés de la vessie et le nimésulide est un anti-inflammatoire.

On connaîtrait au buflomédil depuis 2006 des effets indésirables et peu de résultats thérapeutiques. En 2007 puis en 2009, l’Afssaps a révélé des effets indésirables aux suites mortelles. Malgré les différentes mises en garde, on a seulement retiré du marché le buflomédil fortement dosé, ce qui ne semble pas avoir totalement protégé les patients soumis au buflomédil moins dosé.

La vinflunine occasionnerait des troubles sanguins aux conséquences parfois mortelles ainsi que des troubles intestinaux, cardiaques et neurologiques. De plus son prix est extrêmement élevé. Quant au nimésulide (Nexen), puissant anti-inflammatoire, il a déjà été retiré du marché dans de nombreux pays dès 2002 (Espagne et Finlande, puis Belgique et Argentine). La commission de la mise sur le marché européen parle de 500 cas d’hépatites graves à cause du nimésulide.

Ces nouvelles mises en garde n’ont pas de quoi rassurer et les méfaits de ces médicaments risquent de peser lourd dans la balance financière de la Sécurité Sociale.

mercredi 19 janvier 2011

Nouvelle campagne de la Mutuelle Bleue


La nouvelle campagne publicitaire de la Mutuelle Bleue est lancée : Internet, affiches, jeu-concours… les moyens déployés sont impressionnants et ont de grandes chances de donner lieu à de futures adhésions.

Son mailing permettra à la Mutuelle Bleue de toucher plus de deux millions de foyers qui trouveront dans leur boîte aux lettres un dépliant permettant de la connaître ou de la redécouvrir. Quant à la campagne sur Internet, Google y participe en affichant des liens sponsorisés. Par ailleurs, un jeu-concours est organisé : il permet de gagner des cartes-cadeaux Decathlon d’une valeur de 150 € : une bonne façon pour la Mutuelle Bleue de se faire connaître des jeunes généralement passionnés par le sport. Dès le mois de Mars, métro parisien et bus se verront placardés d’affiches.

La Mutuelle Bleue est en pleine expansion. En octobre 2010, elle avait ouvert une nouvelle agence à Champigny-sur-Marne, et en décembre 2010 s’était investie, à Meaux, en tant que partenaire du « Cyclo-Cross des enfants du père Noël ».

La Mutuelle Bleue continue d’offrir une couverture fiable à ses adhérents malgré une période de crise difficile, et son objectif premier est reconduit : permettre à tous ses assurés d’accéder aux soins.

Pour mieux connaître la Mutuelle Bleue, faites un tour sur http://www.mutuellebleue.fr/

mardi 18 janvier 2011

Grand chantier sur la dépendance



La population française vieillit et du même coup, la prise en charge de la dépendance va coûter de plus en plus cher. Pour trouver les meilleures solutions financières, une nouvelle réforme se met en place : celle de la dépendance.

Aujourd’hui, les ménages de plus de 85 ans qui doivent faire face au coût de résidence en maison de retraite dépensent près de 7 milliards d’euros par an. Quant à la dépendance elle coûte 22 milliards par an dont 60 % pris en charge par l’assurance maladie. L’Allocation Personnalisée à l’Autonomie (APA) est versée par les départements et représente près de 4,4 milliards. Le vieillissement constant de la population française laisse prévoir – pour 2050 – des besoins estimés à 150 milliards.

Roselyne Bachelot, Ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale, vient de demander à quatre groupe de travail de se pencher sur la question et de trouver pour l’été 2011 les meilleures solutions de prise en charge de la dépendance. Rien n’est encore décidé, mais quelques idées se profilent :

- prélèvements sur les successions prévus à la hausse

- hausse de la CSG

- intervention des assurances privées

- nouvelle branche de la sécurité sociale

Les premières mesures devraient être incluses au budget 2012 de la Sécurité Sociale.

L’échéance 2050 n’a pas fini de faire parler d’elle. 15 % de la population française sera âgée de plus de 75 ans et un tiers de la population aura plus de 60 ans. Mais à l’heure actuelle, les classes moyennes sont les plus touchées financièrement par la dépendance car elles ne perçoivent pas d’aide sociale.


illustration © site du conseil général du Lot-et-Garonne

lundi 17 janvier 2011

Zoom sur la nutrivigilance







L’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation de l’environnement et du travail) a lancé le 9 décembre 2010 un programme de surveillance alimentaire afin de protéger le consommateur.

Les produits visés par ce programme Nutrivigilence sont les aliments enrichis, les nouveaux aliments et les compléments alimentaires. Le fonctionnement du programme est basé sur la surveillance d’une population ayant consommé les aliments ciblés. Ce sont les pharmaciens et les médecins qui se chargent de récolter les informations transmises par les patients eux-mêmes. A charge aux professionnels de retransmettre ces données par le biais du site Internet de l’ANSES.

Le but de cette étude est de tirer des conclusions sur les dangers éventuels causés par ces aliments et boissons particuliers. Des mesures seront alors prises quant à leur maintien sur le marché ou non. Les Etats Unis et le Canada possédant le même type de réseau, les résultats obtenus seront mis en commun avec les leurs.

Ce type de programme a déjà permis de mettre l’accent sur des produits aux graves répercussions sur la santé, et d’aviser consommateurs, pouvoirs publics et industriels.

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vendredi 14 janvier 2011

20ème anniversaire de la loi Evin : bilan



Mise en place pour lutter contre l’alcoolisme puis contre le tabac, la loi Evin n’a pas perdu de sa popularité. Après 20 ans, l’heure est au bilan.

La loi Evin a été adoptée le 10 Janvier 1991. Elle a très vite permis au monde entier de prendre la France pour référence dans la lutte contre le tabagisme passif : une notion découverte grâce à la loi Evin. C’est de loin la loi de santé publique la plus populaire car approuvée par tous les Français, consommateurs de tabac ou non mais tous concernés.

Les grandes avancées dues à la loi Evin sont :

- la mise en place des espaces réservés aux fumeurs afin de protéger celui des non-fumeurs,

- la prise de conscience de sa fonction cancérogène et de sa forte implication dans la survenue de nombreux cancers,

- la diminution conséquente de fumeurs dans les établissements scolaires de la région parisienne.

- l’interdiction de vendre du tabac aux jeunes de moins de 18 ans

2011 fera encore bouger les mentalités car le but est « une vie sans tabac ».

En plus du coût que représentent les maladies dues au tabac, notre système de soins doit affronter également le coût de l’alcoolisme : criminalité, violences conjugales, accidents de la route, handicaps et nombreux cancers. La Loi Evin n’a pas fini de sévir.


Illustration © Groupe Facebook pour la révision de la loi Evin et pour le vin à la télévision

jeudi 13 janvier 2011

Intériale : une mutuelle aux formules très adaptées





En 2008, la MMGAT (administration territoriale), la MMI (ministère de l’intérieur) et la SMPPN (Police nationale) se mutualisent et deviennent la mutuelle Intériale.

Depuis le 1er Mars 2010, le groupe Intériale se compose de la Mutuelle générale des Affaires Sociales (MGAS), Intériale Mutuelle, Intériale Prévoyance et Intériale Filia. Longtemps réservée aux métiers de la fonction publique, Intériale s’ouvre aujourd’hui aux assurés non fonctionnaires. Intériale arbore fièrement ses trois principales valeurs : proximité, humanité, solidarité.

Les différents contrats proposés par Intériale sont adaptés à chaque situation professionnelle et familiale.

- Pour les jeunes, Prémi Santé permet une couverture de base.

- Via Santé assure une bonne couverture tout en tablant sur une maîtrise budgétaire.
Cette formule permet une prise en charge de certaines prestations à visée thérapeutique utile mais non prises en charge par la sécurité sociale.

- Multi Santé, formule Classique est réservée aux adhérents souhaitant une protection à niveau élevé.

- Multi Plus et Multimax sont deux formules proposées aux assurés dont les besoins en soins dentaires et optiques sont particulièrement importants.

Pour en savoir plus, il suffit de se rendre sur https://www.interiale.fr

Et pour comparer les contrats et trouver une mutuelle moins chère :  comparateur de mutuelles 

mercredi 12 janvier 2011

Accidents de la route : l’obésité augmente les décès




Il a déjà été prouvé que l’obésité et le surpoids augmentaient les risques de diabète,
d’accident vasculaire ou de problème cardiaque. Des chercheurs américains ont récemment
prouvé que l’obésité augmentait aussi les décès imputables aux accidents de la route.

En effet, l’étude réalisée a mis en avant que plus les personnes victimes d’un accident de la
route étaient en surpoids, plus elles avaient de risques de mourir. Si l’IMC (Indice de Masse
Corporelle) est compris entre 30 et 40, les risques augmentent de 21%. Si l’IMC est supérieur
à 40 (obésité morbide), les risques augmentent de 56%.

Cette augmentation du risque de décès, lors d’un accident de la route, n’est pas seulement
due à la mauvaise santé des conducteurs obèses. En effet, la quasi-totalité des véhicules
n’est pas adaptée à la morphologie d’une personne obèse. La ceinture de sécurité est trop
courte, les airbags sont trop prêts du conducteur, l’espace dans le véhicule est souvent
réduit et certaines voitures sont trop légères et trop petites pour accueillir une personne
obèse.

L’épidémie d’obésité n’est pas près d’être enrayée. On estime que d’ici 2050 la moitié de
la population américaine et un tiers de la population européenne seront obèses. Malgré
les efforts de l’Assurance maladie et des mutuelles qui proposent un suivi aux personnes
obèses désireuses de perdre du poids ainsi que des dépistages pour les plus jeunes, il a été
demandé aux industriels de se pencher sur le développement de véhicules et de produits
d’utilisation courante adaptés aux personnes obèses.

mardi 11 janvier 2011

Zoom sur les médecines complémentaires




Une toute récente étude publiée dans la Revue Nerology a démontré que 40 % des malades
soignés pour un cancer du cerveau avaient utilisé des thérapies complémentaires. 60 %
d’entre eux ont affirmé que ces thérapies complémentaires leur avait permis de se sentir
mieux, tout en conservant chimiothérapie, chirurgie et radiothérapie.

Les différentes thérapies complémentaires mises en avant par ces malades étaient :
- l’homéopathie,
- un apport en vitamines,
- un suivi psychologique,
- une supplémentation en minéraux,
- une alimentation spécialement étudiée,
- un médicament fabriqué à base de résine d’arbre.

Le recours aux thérapies complémentaires n’est pas toujours signalé aux médecins référents.
Pourtant les médecins ont conscience des bienfaits des complémentarités thérapeutiques,
ils peuvent aiguiller leurs patients et minimiser certaines contrindications.

Rappelons que l’automédication et les associations médicamenteuses peuvent être fatales.
Le coût de ces erreurs est important pour l’Assurance Maladie car elles conduisent de
nombreuses personnes, chaque année, aux urgences.

Rappelez-vous : les thérapies complémentaires ne sont plus un sujet tabou !


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lundi 10 janvier 2011

Grippe saisonnière : la vaccination boudée mais utile


Depuis décembre 2010, le seuil épidémique de la grippe saisonnière a été franchi en France.
Cette épidémie inquiète les autorités de la santé. En effet, depuis le fiasco de la campagne
de vaccination de la grippe H1N1, les Français sont moins nombreux à se faire vacciner
contre la grippe saisonnière. Pourtant la grippe tue toujours !

Le ministère et les professionnels de la santé ainsi que les mutuelles, l’Assurance maladie
et les pharmaciens se mobilisent. Ce n’est que le début de l’épidémie et il est encore temps
de se faire vacciner. Le vaccin contre la grippe saisonnière est gratuit pour les enfants, les
adolescents, les plus de 65 ans, les personnes obèses et les femmes enceintes.

Les personnes obèses et les femmes enceintes sont d’ailleurs particulièrement ciblées car
elles ont trois fois plus de chance de contracter le virus de la grippe. La direction générale de
la santé recommande à toutes les personnes concernées de se faire vacciner au plus vite.

Pour obtenir le vaccin et se faire vacciner, il suffit de se rendre chez leur médecin traitant qui
leur remettra une attestation pour retirer gratuitement le vaccin en pharmacie. Le vaccin et
la vaccination sont pris en charge à 100%.

Avec seulement 5,5 millions de personnes vaccinées, soit moins de 10% de la population,
l’épidémie de grippe pourrait rapidement prendre de l’ampleur et faire de nombreuses
victimes.

© Illustration : Le virus de la grippe - image : info-grippe-porcine.fr

vendredi 7 janvier 2011

Déremboursements et alternatives




Pour enrayer le trou historique de la Sécurité Sociale, les déremboursements vont bon train.
Les traitements contre le rhume ne sont pas écartés, passant de 35 % à 15 %. La rhinite aigüe
plus communément appelée « rhume », est due à un virus. Les enfants comme les adultes
sont touchés par le rhume lorsque le froid sévit. C’est une maladie très contagieuse mais
heureusement bénigne.

La Haute Autorité de la Santé (HAS) préconise d’adopter les bonnes attitudes afin de faire
passer les symptômes dus au rhume sans forcément avoir recours à des traitements qui
coûtent cher… et qui ne sont plus remboursés désormais qu’à 15 % au lieu de 35 %.

Les bons gestes à adopter tiennent du bon sens, à savoir :

- se moucher très régulièrement pour désencombrer sinus et fosses nasales
- se laver les mains après avoir toussé et/ou s’être mouché
- éviter autant que faire se peut les embrassades
- utiliser une eau thermale ou de mer, ou du sérum physiologique pour se laver le nez
- soulager les états fiévreux et les maux de tête en utilisant de l’ibuprofène ou du
- paracétamol disponibles sans prescription mais remboursés à 65 % si prescrits

Pour soulager les enfants, l’attitude à adopter est strictement la même : la HAS insiste
tout de même sur les précautions à prendre en cas d’administration d’un traitement
médicamenteux et conseille de consulter un médecin ou de s’informer auprès d’un
pharmacien.

Attention tout de même au rhume chez la femme enceinte. La Haute Autorité de la Santé
est claire : pas d’automédication chez la future maman. La HAS informe sans détour que
l’ibuprofène peut tuer le fœtus.

Image d'illustration de cet article : http://blog.djailla.com/

jeudi 6 janvier 2011

La mutuelle Smar sur Facebook




La Smar est une mutuelle professionnelle qui a pris une bonne résolution pour l’année 2011.
En effet, la mutuelle Smar souhaite changer son image et s’adresser aux moins de 35 ans. La
première étape fut la refonte du site Internet de la mutuelle. Ensuite, la Smar a décidé de
s’attaquer aux réseaux sociaux en créant un groupe sur Facebook.

Le groupe Smar sur Facebook est dédié aux adhérents de la mutuelle. Ces derniers y
trouvent toutes les informations et les actualités de la mutuelle Smar, les vidéos, des
photos, des jeux, des concours et surtout un service questions-réponses.

En ce moment, la mutuelle Smar organise un concours. Les internautes doivent raconter
une anecdote en rapport avec la santé ou la mutuelle. Les histoires les plus drôles seront
récompensées grâce à des chèques cadeaux d’une valeur de 20€ à 50€. Les histoires peuvent
être envoyées par mail ou via Facebook.

La mutuelle Smar compte 54 000 adhérents et protège plus de 70 000 personnes. Elle
s’adresse aux travailleurs de la fonction publique. Malgré sa petite taille, la mutuelle
Smar est la seule mutuelle à baisser le montant de ses cotisations en 2011 ! Les mutuelles
concurrentes ont, elles, augmenté leurs tarifs de 8% en moyenne.

mercredi 5 janvier 2011

Le prix de la santé


A l’heure où le déficit de la Sécurité Sociale atteint son paroxysme, les Français font leurs
comptes. Si la santé représente un gouffre pour l’Assurance Maladie, elle coûte aussi très
cher aux assurés.

Depuis le 1er janvier 2011, la consultation chez un médecin traitant étant passée à 23 €,
elle coûte 7,90 € à un assuré sans mutuelle complémentaire. Quant à la journée à l’hôpital,
elle revient à 24 € à chaque personne hospitalisée. C’est sans compter les dépassements
d’honoraires qui peuvent atteindre des sommets. Les médicaments pèsent très lourd dans le
budget des Français. La vague de déremboursements finit par ressembler à un tsunami. De
quoi démoraliser la plupart d’entre nous.

La Direction des études de l’évaluation des statistiques (DRESS) déclare qu’il est possible
de s’appauvrir à cause d’un mauvais état de santé : baisse des revenus (mi-temps
thérapeutique, arrêts de travail), refus de crédits par les établissements prêteurs. Cette
situation touche plus de 30 % des personnes âgées de moins de 59 ans.

Heureusement, le fait d’adhérer à une complémentaire santé permet de percevoir des
remboursements plus importants que ceux servis uniquement par l’Assurance Maladie.
87 % des Français ont une mutuelle santé. Il n’en est pas moins vrai que les cotisations
augmentent considérablement depuis quelques années (+ 44 % entre 2001 et 2008), les
mutuelles devant faire face à la vague de déremboursements de la sécu.

Une étude UFC Que Choisir fait ressortir le coût réel de la santé en 2010. Le reste à charge
(RAC) et les cotisations « mutuelle complémentaire » représentaient 407 € en 2001 et 618 €
en 2010 : somme directement imputable au budget de chaque Français.

Les pouvoirs publics n’ont pas fini de se pencher sur le devenir de notre système de soins.

mardi 4 janvier 2011

Les droits des enfants hospitalisés



Tout le monde a déjà entendu parler du droit des patients hospitalisés. Malheureusement, les droits des malades enfants hospitalisés sont, eux, méconnus. Régis par des textes réglementaires, les droits des malades enfants hospitalisés sont appliqués dans moins de 30% des cas, une aberration. Pour informer de ces droits, parents et enfants, mais aussi personnel et professionnels de la santé, l’Association Sparadrap à mis en place un site conseil.

Parmi les nombreux droits on retrouve :
L’information sur sa maladie et sur ses soins
La prise en charge de la douleur
L’intimité
Le droit de voir ses parents à toute heure du jour et de la nuit
Le droit qu’un de ses parents passe la nuit avec lui
L’hospitalisation avec des enfants et non des adultes
La scolarité à l’hôpital
Le droit de jouer et de s’amuser
La présence des parents lors des examens médicaux

Un enfant hospitalisé est un enfant affaibli qui a besoin d’être compris et soutenu. C’est pour cela que les droits des malades enfants hospitalisés ont été créés. Or d’après une récente étude réalisée auprès des services pédiatriques des plus grands hôpitaux français, certains droits ne sont presque jamais respectés.

C’est le cas de l’intimité, de l’information du patient et surtout de la présence des parents lors des examens médicaux. Les parents entendent trop souvent : « c’est dans le règlement », « il y a un risque d’infection » ou encore « vous allez gêner le personnel » et « vous transmettez votre stress à votre enfant ». Il n’y a aucun texte de loi interdisant la présence des parents pendant les soins et les examens d’un enfant, au contraire !

Grâce au site http://www.sparadrap.org/, il est possible de mieux comprendre ces droits, de savoir comment les faire respecter et que faire en cas de non-respect.

lundi 3 janvier 2011

Obésité et publicité





Les données concernant l’obésité en Europe publiées par Le Panorama de la Santé mettent en évidence une montée en puissance du nombre de personnes atteintes. Les chiffres sont alarmants : l’Europe compte plus de 50 % de personnes en surpoids et près de 16 % d’obèses.

Bien que la France ne détienne pas le record européen, elle compte tout de même 11,2 % d’adultes obèses, soit plus de 5,5 millions de personnes adultes. Les jeunes de 11 à 15 ans sont 12,1 % à présenter un surpoids et 3 % souffrent d’obésité.

C’est bien le domaine de la santé qui est visé et non celui de l’esthétisme. Car il ne s’agit pas de pousser les gens à ressembler à des gravures de mode mais bien de sauver leur santé et celle de leurs enfants. Le problème est donc sérieux ; suffisamment en tout cas pour que les pouvoirs publics se mobilisent face à l’augmentation alarmante du nombre d’obèses.

La publicité télévisée est incriminée : sur 10 spots publicitaires relevant de l’industrie alimentaire, 8 montrent des aliments trop gras, trop sucrés ou trop salés. Bien que des mesures aient été prises pour que ces publicités ne soient plus diffusées au cours des programmes destinés aux enfants, les chaînes semblent avoir contourné le problème : ces spots apparaissent plus nombreux lors de programmes tout public… les enfants ne sont donc pas protégés.

Chaque année, l’obésité coûte directement et indirectement plusieurs milliards d’euros à l’Assurance Maladie (soins, maladies, hospitalisation, décès, etc.). Sur le modèle de la MGEN, la MNH, la Mutualité Française ou encore la Mif, de nombreuses mutuelles s’investissent dans une dynamique visant au maintien de la santé, mais aussi dans la prévention et la prise en charge de l’obésité.

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dimanche 2 janvier 2011

Les Français et les arrêts de travail pour maladie



Depuis 2008, une « politique de contrôle » a été menée par l’Assurance Maladie afin de limiter les arrêts de travail injustifiés. Il semble que cette lutte contre la fraude ait eu un impact considérable : 70 % des personnes contrôlées pendant un arrêt ont dû reprendre le travail sur le champ ou se sont vu supprimer les indemnités journalières.

Le déficit de la Sécurité Sociale ayant dépassé les limites de l’entendement, toutes les formes de fraude sont amplement suspectées. Elles coûtent cher à la collectivité, et mettent en péril tout le système de santé français. Les arrêts de travail pour maladie continuent d’être hautement surveillés. 2010 a été l’année de la chasse aux arrêts de travail successifs non justifiés.

Pourtant, bien que le nombre d’arrêts de travail jugés injustifiés augmente d’année en année, une récente enquête indépendante fait apparaître que seulement 1 % des Français en activité se font prescrire des arrêts de travail alors qu’ils ne sont pas vraiment malades : chiffres concernant le plan national. Les données de l’Assurance Maladie sont étudiées sur le plan départemental. Certains départements seraient plus fraudeurs que d’autres avec 20 % d’arrêts de travail abusifs.

Il faut bien reconnaître que les arrêts de travail coûtent extrêmement cher à l’Assurance Maladie. Pour exemple, un des départements de la région parisienne verse 7 millions d’euros pour une journée, soit près de 2 Milliards d’euros par an. Ce qui laisse deviner les sommes astronomiques versées annuellement sur le plan national par la Sécurité Sociale. La chasse aux fraudeurs n’a pas encore baissé les armes.

samedi 1 janvier 2011

Une nouvelle vague de déremboursement



L’année 2010 s’achève sur le vote d’une nouvelle vague de déremboursement. Un nouveau décret a été voté et communiqué à la Sécurité sociale. Ce décret valide le déremboursement des médicaments à vignette bleue ainsi que les médicaments homéopathiques. Le remboursement de la Sécurité sociale passera de 35 à 25%.

Ce nouveau décret prévoyant une nouvelle vague de déremboursement fait partie du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS). A l’origine, le déremboursement devait être diminué de 35% à 30%. Il en est de même pour les dispositifs médicaux : le taux de remboursement devait passer de 50% à 45% mais ira finalement jusqu'au taux de 40%.

L’objectif de la nouvelle vague de déremboursement est de diminuer les dépenses de l’Assurance maladie et le déficit record. Malheureusement pour pallier les déremboursements des médicaments, les mutuelles sont de plus en plus sollicitées et accumulent les hausses tarifaires.

Toutes les baisses de remboursements appliquées font partie du programme d'économies sur les dépenses d'assurance maladie : dépenses qui ne doivent pas dépasser une progression de 2.9% en 2011.
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