mardi 30 novembre 2010

Anses accuse les régimes



Comme l’indique son rapport, l'agence de sécurité sanitaire alimentation-environnement-travail (Anses) est formelle : les régimes amaigrissants sont mauvais pour la santé et coûtent de plus en plus cher à la Sécurité Sociale.

L’Anses a passé plusieurs mois à étudier les régimes en vogue ainsi que leur impact sur la santé. Le constat est alarmant : la quasi-totalité des régimes sont dangereux pour la population et couteux pour l’Assurance maladie.

L’étude met en avant l’incohérence des régimes actuels : ils sont trop riches en sel, manquent de fibres, augmentent la tension artérielle, provoquent des carences, etc. Ces régimes, à court terme, aident bel et bien à perdre du poids mais peu d’entre eux proposent une phase de stabilisation. Par conséquent, à plus long terme, la reprise de poids est inévitable et toujours supérieure. Faire un régime déséquilibré entraine un affaiblissement de l’organisme, une nette baisse de moral et paradoxalement une prise de poids.

Le seul régime connu et non dangereux pour la santé serait Weight Watchers. En effet, au lieu de prôner un apport calorique dérisoire (moins de 800 Kcal) comme le régime Dukan, le Diet et autres régimes hypocaloriques ou hyper protéinés, Weight Watchers valorise la perte de poids lente et durable avec une formule adaptée à chaque personne fonctionnant sur un système de points.

L’Anses rappelle qu’une mauvaise prise en charge du surpoids entraine de nombreuses maladies comme le diabète, l’hypertension, les maladies cardio-vasculaires et les dépressions graves. L’obésité coûte chaque année près de 3 milliards d’euros.


lundi 29 novembre 2010

Personnes expatriées et complémentaire santé



La protection sociale pour une personne qui part à l’étranger ne coule pas de source. Il n’existe pas de solution standard. Le mieux est de s’adresser à un technicien de l’assurance santé spécialisé dans l’expatriation.

Afin de pouvoir proposer une solution à une personne qui quitte la France pour l’Etranger, la situation de l’assuré doit être envisagée dans son ensemble : situation familiale, situation professionnelle à l’Etranger, mais aussi quel sera le pays de résidence ainsi que la durée de l’expatriation.

Dans un pays étranger, il est possible de conserver sa prise en charge par la sécurité sociale (accident du travail, santé, invalidité et retraite). Pour ce faire, il faut adhérer à la Caisse des Français à l’Etranger.

De même il est tout à fait possible de souscrire à une complémentaire santé : elle complètera les prestations versées par la Caisse des Français à l’Etranger. Différents degrés de protection sont proposés, tenant compte du pays d’accueil, mais toujours en rapport avec la situation de l’adhérent. Que ce soit pour une personne qui travaille ou un étudiant, Assur Travel est spécialisée dans l’assurance à l’étranger. www.assur-travel.fr/

La Caisse des Français à l’Etranger a édité un livret s’adressant tout spécialement aux femmes souhaitant partir dans un autre pays, qu’elles soient employées, femmes au foyer, étudiantes… www.cfe.fr/

Et pour les frontaliers qui travaillent en Suisse dont la situation est un peu différente, Alptis propose des solutions très appropriées. www.alptis.org/assurance/frontaliers.

dimanche 28 novembre 2010

Les dangers des traitements contre l’obésité


Alli et Xenical, deux médicaments pour un seul objectif : lutter contre l’obésité. Acclamés à leur sortie sur le marché pharmaceutique, ces traitements sont aujourd’hui au centre d’une polémique. Entre lésions hépatiques graves, transplantations et décès, difficile de tirer un bilan positif d’Alli et de Xenical.

La mise sur le marché d’Alli et de Xenical a inquiété les autorités de la santé. Mais à l’heure où l’épidémie d’obésité fait rage dans toute l’Europe, l’orlistat (molécule présente dans les deux traitements) apparaissait comme la solution miracle.

Presque deux ans après la sortie d’Alli et de Xenical, le bilan est lourd : 13 cas de lésions hépatiques graves, 3 personnes transplantées et 2 décès sont directement imputables à l’orlistat.

Les autorités de la santé européenne, française ainsi que l’Agence Américaine du médicament travaillent actuellement ensemble pour mieux encadrer la commercialisation de traitements à base d’orlistat. Elles rappellent que les traitements qui traitent l’obésité, même s’ils sont en vente libre, s’adressent aux obèses. Et non pas à n’importe quelle personne qui souhaite perdre quelques kilos rapidement.

La notice des traitements a également été modifiée pour mieux prévenir des dangers liés à la prise d’orlistat et d’attirer l’attention sur les effets secondaires comme les démangeaisons, le jaunissement de la peau, la fièvre, les urines marrons, la perte d’appétit et l’incontinence fécale.

Le service médical rendu par ces médicaments était déjà considéré comme trop faible pour qu’une mutuelle s’engage à rembourser les traitements comme Alli et Xenical.

samedi 27 novembre 2010

Les soins dentaires toujours trop chers



Les tarifs pratiqués par les dentistes sont bien souvent nettement supérieurs aux remboursements assurés par l’Assurance maladie et les organismes de mutuelles. La conséquence directe de ce phénomène est que de nombreuses personnes hésitent à se faire soigner. Pour faire face à cette inégalité, de nombreuses mutuelles dentaires ont vu le jour.

L’Assurance maladie rembourse certains actes courants pratiqués par les dentistes comme un détartrage ou le soin des caries. Pour la pose de prothèses, de bridges ou de couronnes, le remboursement assuré par l’Assurance maladie est jusqu’à dix fois inférieur aux prix du marché.

La solution serait donc d’opter pour une mutuelle dentaire. Ces mutuelles spécialisées proposent à leurs adhérents de bénéficier de remboursements allant de 100 € à 500 € sous forme de forfaits dentaires, deux fois par an, soit une prise en charge pouvant atteindre les 1000 €. Certains contrats, très haut de gamme, proposent même de rembourser la totalité des frais réels.

Pour plus d’informations sur les mutuelles dentaires, renseignez-vous auprès de votre organisme de mutuelle actuelle et/ou de ses concurrentes et surtout prenez soin de vos dents !

vendredi 26 novembre 2010

Le forfait social : nette augmentation prévue en 2011


Le forfait social a été mis en place en 2009. L’objectif fixé : prendre en compte les compléments de salaire perçus par les employés et n’étant pas, jusqu’alors, soumis à prélèvements sociaux. Pour faire plus simple, le forfait social n’est autre qu’une contribution imposée aux employeurs.

Les compléments de salaire pris en compte dans le calcul du forfait social sont nombreux : intéressement, abondement (ce que l’employeur verse à l’Epargne salariale), prime exceptionnelle, retraite supplémentaire mais aussi certaines contributions versées aux sportifs professionnels. Une liste appelée à s’étoffer.

Jusqu’en 2009, ces compléments de salaire étaient assujettis à la CSG mais pas aux cotisations de sécurité sociale. Voilà qui est donc réparé puisque la mise en place du forfait social permet d’engendrer de nouvelles recettes. Mais ce n’est plus suffisant. A sa création, le taux du forfait social était de 2 %. En 2010 il est passé à 4 %.
La prévision pour 2011 est d’augmenter ce taux. La cours des comptes a proposé de le faire passer à 19 %, ce qui représenterait un gain de 4 Milliards d’euros. Elle demande également que soit ajoutés à la liste des compléments de salaire déjà soumis au forfait social, les chèques vacances et les titres restaurant. Le gouvernement semble vouloir fixer le taux du forfait social à 6 % pour 2011.

En 2010, le déficit de la Sécurité Sociale est de 23,1 Milliards d’euros. Ce que l’on appelle « effort financier » prévu dans le PLFSS 2011 (Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale) devrait s’élever à 7,2 milliards d’euros.
Il faudra faire encore beaucoup d’efforts pour conserver notre système de soins, somme toute d’excellente qualité.

jeudi 25 novembre 2010

Médiator sur la sellette : nouveau scandale



Médiator (benflorex) a été mis sur le marché dès 1976 pour soigner le diabète. Puis, pour ses pouvoirs coupe-faim propices à lutter contre l’obésité, il a été prescrit aux diabétiques présentant un excès de poids mais aussi à des personnes non diabétiques. Depuis sa mise sur le marché, ce sont plus de 5 millions de personnes qui ont pris ce médicament. Aujourd’hui, Médiator défraie la chronique.

En 1997, ce sont les Etats-Unis qui, les premiers, ont déclaré ce traitement responsable d’hypertension et de problèmes cardiaques, puis l’Europe. Mais, malgré différentes alertes, la France a passé outre, et aucune interdiction ne vise Médiator. Il faudra attendre fin 2009 pour que ce traitement soit interdit dans notre pays.
D’après la Caisse d’Assurance Maladie, Médiator aurait causé la mort de 500 à 1000 patients. Après que de nombreux malades aient porté plainte parce qu’ils souffraient de problèmes cardiaques faisant suite à la prise de Médiator, l’Afssaps (Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé) est aujourd’hui accusée d’avoir fait preuve de lenteur.

L’Assurance Maladie s’est engagée à contacter par courrier toutes les personnes (plusieurs milliers) qui ont pris Médiator pendant au moins un trimestre. Ces personnes vont être invitées à consulter leur médecin. En cas de suspicion d’anomalie cardiaque, une visite chez un cardiologue devra être envisagée.
A ce jour, le dossier est dans les mains du gouvernement.

mercredi 24 novembre 2010

Le BLOC : un nouveau syndicat de médecins libéraux


Un nouveau syndicat créé par les gynécologues-obstétriciens, les anesthésistes et les chirurgiens a vu le jour fin septembre. C’est le BLOC. Son Président est Philippe CUQ. L’utilité du BLOC est de défendre les intérêts des médecins libéraux face aux généralistes, notamment à propos des dépassements d’honoraires.

La loi Bachelot a partitionné les médecins en trois collèges : les médecins spécialistes, les médecins généralistes, les médecins des plateaux techniques. Ces derniers qui comptaient au départ 3 syndicats (SYNGOF, AAL et UCDF) forment aujourd’hui le BLOC.

L’une des préoccupations du BLOC est d’obtenir une baisse de la police d’assurance qui couvre les risques liés aux opérations chirurgicales. Les cotisations des médecins libéraux augmentent chaque année de 10 à 20 % : une réelle asphyxie.

Une autre préoccupation du BLOC concerne la prise en charge par les mutuelles des dépassements d’honoraires : un sujet brûlant en cette fin 2010 qui ne manquera pas de faire encore bientôt parler de lui.

Le BLOC se mobilise afin que les difficultés rencontrées par les anesthésistes, chirurgiens et gynécologues-obstétriciens dans l’exercice de leur fonction soient mieux considérées.


Prothèse de hanche et dépassements d'honoraire
envoyé par ucdf. - L'info video en direct.

mardi 23 novembre 2010

Jeremie et Karen : les premiers bébés nés en France après congélation d’ovocytes


En France, la loi autorise la congélation d’ovocytes, mais dans des conditions ne permettant pas une grande réussite. Depuis peu, parce que le Professeur René Frydman a opté pour une congélation lente, la France est fière de ses premiers jumeaux nés après congélation d’ovocytes.

La congélation ultra rapide des ovocytes et la vitrification sont les deux seuls modes de congélation autorisés par la loi française. Elle a souvent été appliquée, mais n’avait donné lieu à aucune naissance. La congélation lente mise en place par le Professeur Frydman, grâce à qui la petite Amandine, premier bébé éprouvette français a pu voir le jour en 1982, a optimisé les qualités de fertilité.

La congélation d’ovocytes évite d’utiliser une autre méthode : celle qui consiste à stimuler de façon répétée les ovaires et suspectée aujourd’hui d’être à l’origine de cancers des ovaires.

Au-delà de l’avancée médicale incontestable, des problèmes éthiques se posent à propos de la congélation lente d’ovocytes appelée aussi « cryopréservation ». Si la recherche française est en retard comparativement à d’autres pays, c’est en partie pour des raisons morales, philosophiques, religieuses.

Grâce au Professeur Frydman et à la naissance de Jeremie et Karen, la vitrification attend d’être autorisée prochainement en France. Une avancée pour la Recherche. Quoiqu’il en soit, nos deux adorables bambins se portent bien !

lundi 22 novembre 2010

La nouvelle campagne sur les antibiotiques


Après « Les antibiotiques c'est pas automatique » et « Si on les utilise à tort, ils deviendront moins forts », l'Assurance maladie lance une nouvelle campagne de sensibilisation au bon usage des antibiotiques. Cette année tous les réseaux de diffusion et de communication sont utilisés, y compris Facebook pour sensibiliser les plus jeunes.

Chaque année la campagne tente d'inciter la population à réduire sa consommation d’antibiotiques. En effet, une surconsommation de ces médicaments entraîne une diminution de leur efficacité.
Cette année, le slogan est « En cas de bronchite aigüe, pas d'antibiotiques » et « En cas d'angine virale, pas d'antibiotiques ».

Pour communiquer sur cette nouvelle campagne de sensibilisation au bon usage des antibiotiques, les moyens de communication sont nombreux : spots télévisés, presse et bannières web. La grande nouveauté de l’année est la diffusion de la campagne sur Facebook.
Facebook est un réseau social très fréquenté par les plus jeunes. L’Assurance maladie a donc décidé de faire de la prévention auprès des plus jeunes. Cette prévention se fera à l’aide de petits jeux.

dimanche 21 novembre 2010

Discussion autour de la tarification médicale


En matière de tarification médicale, on connaissait le secteur 1 (honoraires conventionnés dits aussi tarifs opposables) et le secteur 2 (honoraires libres). Aujourd’hui, le secteur optionnel est à l’étude, sa mise en place ayant pour objectif une nouvelle source d’économie pour la Sécurité Sociale.

Le secteur optionnel obligerait les médecins spécialistes ainsi que généralistes à compter parmi leurs patients des bénéficiaires de la CMU (Couverture Maladie Universelle) ainsi que ceux bénéficiant de l’AME (Aide Médicale Etat). En échange de quoi l’Assurance Maladie prendrait en charge, pendant un certain temps, les cotisations des médecins. C’est le principe du donnant/donnant.

Les dépenses de santé devant être contenues, voire revues à la baisse, gouvernement et Assurance Maladie tentent de trouver toutes les solutions possibles pour ne pas voir péricliter notre système de santé. Or, si le secteur optionnel devait voir le jour, il pèserait fort lourd dans la balance des mutuelles complémentaires.

En effet, à l’heure actuelle ce sont les mutuelles qui financent principalement les dépassements d’honoraires. Si le secteur optionnel devait être mis en place, il concernerait la majorité des médecins, ce qui augmenterait considérablement les dépenses des mutuelles. Du même coup, les cotisations des adhérents augmenteraient et – au final – les Français paieraient l’addition et verraient leurs dépenses de santé s’envoler. Un risque supplémentaire d’exclure les plus démunis.

samedi 20 novembre 2010

Un mode de vie anti-cancer


Depuis plusieurs années, de nombreux régimes et modes de vie aux vertus anti-cancer sont relayés dans la presse et les programmes télé. Une étude a été menée au Danemark et a révélé qu’il existe bien un mode de vie anti-cancer.

L’étude en question a été menée pendant 10 ans auprès de 50 000 personnes. Leurs habitudes alimentaires, leur consommation d’alcool et de cigarettes, leur activité physique et enfin leur masse graisseuse ont été analysées pendant toute la durée de l’étude et les comportements quotidiens favorables à la santé ont été mis à jour.

A l’issue de l’étude 5 recommandations ont vu le jour :

• Ne pas fumer, même une cigarette par jour est nocive,
• Avoir au moins 30 minutes d’activité physique par jour, en plus des "10 000 pas" que nous sommes supposés faire et des 4 heures d’activité sportive hebdomadaire,
• La consommation d’alcool doit être limitée à 7 unités d’alcool par semaine pour les femmes et 14 pour les hommes,
• Avoir une alimentation saine et équilibrée,
• Maintenir un tour de taille de moins de 88 cm pour les femmes et moins de 102 cm pour les hommes.


Ce mode de vie diminuerait de 23% le nombre de cancer colorectal, de 14% le nombre de cancer du côlon et de 13% le cancer rectal. Les résultats officiels de l’étude ont été publiés dans le British Medical Journal le 26 Octobre dernier.
Etes-vous prêt à adopter ce régime ?

vendredi 19 novembre 2010

Assuréo complémentaire santé : une mutuelle labellisée


Assuréo complémentaire santé est une assurance low cost. Elle propose des contrats variés, adaptés à chaque situation en fonction des besoins de chacun en matière de santé, comme de nombreuses mutuelles. Pourtant, Assuréo se distingue grâce à l’obtention d’un label, le « Label d’Excellence ».

Les tarifs appliqués par Assuréo peuvent être inférieurs de 35 % en moyenne à ce qui est proposé généralement (25 % pour le tarif le plus élevé). Le fait que le champ d’action d’Assuréo complémentaire santé soit exclusivement Internet permet aujourd’hui de tirer les prix vers le bas sans négliger la qualité des services.

S’adresser à sa mutuelle est parfois difficile. Assuréo permet à chaque adhérent de communiquer par courrier électronique et de se voir attribuer un conseiller en particulier : une bonne solution pour un suivi précis de chaque dossier, et l’obtention d’une réponse dans les meilleurs délais.

Assuréo permet l’accès, sur son site, à des informations diverses sur la complémentaire santé, la mutuelle Séniors, l’assurance des expatriés, l’assurance des animaux, les comparateurs, mais aussi les délais de renonciation, la loi Chatel, le chèque Santé...

C’est grâce à cette qualité de service qu’Assuréo complémentaire santé a obtenu le « Label d’Excellence » : un label attribué à seulement 20 % de la totalité des contrats en lice. Pour en savoir plus ou demander un devis gratuit faites un petit tour sur http://www.assureo.fr/.

jeudi 18 novembre 2010

Le bégaiement se contrôle bien


Dans le monde, le bégaiement touche l’équivalent de la population française, soit 60 millions de personnes. Il est prouvé qu’aujourd’hui, le bégaiement se contrôle grâce à la psychothérapie et à l’orthophonie. Il est même possible de le guérir dans de nombreux cas.

Le bégaiement n’est pas dû qu’à un trouble de la parole. Il inclut également des problèmes de comportement. Une prédisposition existe s’il y a des antécédents familiaux de bégaiement. En France, les garçons sont plus nombreux à en être atteints, et c’est souvent dès l’enfance que le bégaiement apparaît.

A l’âge adulte, le bégaiement est un réel handicap excluant trop souvent les personnes atteintes du monde du travail, bien qu’il soit possible d’obtenir une reconnaissance de travailleur handicapé auprès de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées).

Il ne faut pas attendre pour consulter un orthophoniste lorsque vous pensez déceler un bégaiement chez votre enfant. Les actes des auxiliaires médicaux sont pris en charge par l’assurance maladie à hauteur de 60 %, et le complément par les Mutuelles santé en dehors de la nouvelle franchise médicale. Mais, bonne nouvelle, cette franchise ne concerne pas les enfants de moins de 18 ans.

Direct Assurance peut, selon le contrat choisi, rembourser jusqu’à 200% de la Base de Remboursement du Régime Obligatoire. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.direct-assurance.fr
articles connexes à propos des mutuelles et complémentaires santé